En ces temps d’Hadopi et autre Lopsi ( la nouvelle loi sécuritaire concoctée par le Sarkozysme) qui inclus ni plus ni moins dans ses projet liberticides qu’ une tentative de filtrage de l’internet français qui serait censée nous « protéger » (de quoi au fait de notre liberté de conscience et de notre libre arbitre de choisir les informations que nous voulons trouver sur le net ) et « protéger nos enfants » de la pornographie et de la « cybercriminalité » sur le net il serait temps de se pencher sur l’exemple du filtrage et du flicage du net iranien effectué avec l’aide (entre autre) des multinationale européennes Nokia et Siemens
La Lopsi et son volet internet en France ce n’est ni plus ni moins ce qu’aimerait faire nos homme politiques réactionnaires sarkoziens qui décidément semblent très inspirés ces derniers temps par les exemples de filtrages et flicages du net comme ceux qu’on peut voir dans des dictatures comme l’Iran, la Birmanie, la Tunisie, la chine « populaire », l’Arabie saoudite
Nous n’oublions pas que le flicage du net Iranien mis en place pas Nokia et Siemens a conduit des centaines de nos camarades blogueurs et cyber activistes iraniens dans les toles du pays
Un nouvel exemple de cette cyber-répression pratiquée en Iran
Article paru sur le site Electron Libre
http://electronlibre.info/+Iran-deux-journalistes-menaces-de,03872+
Iran : deux journalistes menacés de peine de mort
D’après un billet publié sur le site de Reporters sans frontières, la peine capitale pourrait être requise à l’encontre de deux blogueurs – journalistes, Vahid Asghari et Hossein Derakhshan, emprisonnés depuis 2008. En cause, le Centre de surveillance des délits organisés (instauré par les Gardiens de la Révolution) a procédé à des arrestations massives suite à « l’observation » de « plusieurs cas de sites et blogs personnels publiant des articles incitant au trouble à l’ordre public, et invitant la population à se rebeller« .
Le net-citoyen, Vahid Asghari, est le principal accusé dans ce dossier de « démantèlement de réseaux« . Le jeune-homme a 24 ans, étudiait l’informatique en Inde et a été arrêté le 11 mai 2008 à l’aéroport de Téhéran pour possession de plusieurs cartes de crédit. Deux ans après son arrestation, il est toujours en attente de son verdict. Hébergeur de sites dont ceux d’opposants iraniens, Vahid Asghari est en cellule d’isolement depuis sept mois, victime de mauvais traitements et tortures pour lui extorquer un délit : être l’organisateur d’un réseau pornographique blasphémant l’islam et critiquant le régime en vue de pervertir la jeunesse iranienne. Le blogueur Hossein Derakshan a, quant à lui, été arrêté par les Gardiens de la Révolution le 1er novembre 2008 et est depuis maintenu en détention en attente de son verdict, après avoir comparu dans un procès non équitable.
Victime d’un scénario monté de toutes pièces, il est accusé « d’insultes envers des responsables du régime et les textes sacrés de l’islam« , alors qu’il avait clairement défendu les principes de la révolution islamique et la politique de Mahmoud Ahmadinejad. Il est une des victimes colatérales de la guerre fratricide entre les services de renseignements iraniens et les Gardiens de la Révolution. »Le Canada et l’ensemble de la communauté internationale doivent redoubler d’efforts pour obtenir des autorités iraniennes la libération de tous les journalistes emprisonnés« , a déclaré Reporters sans frontières, qui rappelle que l’Iran figure sur la liste des « Ennemis d’Internet » établie par l’organisation. Neuf net-citoyens et vingt-six journalistes sont actuellement détenus dans le pays.
Merci aux camarades du sire Iran en lutte grace auxquels nous avons pu trouver et relayer cet article
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conctact soliranparis
nomore@riseup.net
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